Chez Guy Grillot, le corps est mis à nu, multiplié, strié et parfois déformé afin de souligner la fragilité des apparences, de « re »dire ce« Nous ne sommes pas au monde » cher à Arthur Rimbaud.
Chez Béatrice Duriez-Choquet le corps s’est mué en architectures ouvertes et fermées tout à la fois, sorte d’espaces « circulatoires » qui symbolisent nos consciences, nos inconsciences et enfin nos subconscients.